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U Erika Moulet Orniths† - Un samedi soir sur la terre !!!
S'il y avait une rencontre, une seule, que le manager de l'University Erika Moulet souhaitait en rapport avec l'équipe de France, il était celle-là, et pas une autre.
Quand deux pays de cœur se donnent rendez-vous.
Quand le monde de Baudelaire et de Lautréamont rencontre celui d'Edwardsson et de Stieg Larsson. Tout un Symbole, avec un S majuscule.
Et cette rencontre, ce manager l'a eue et bien eue, mettant tout en œuvre sur le plan financier et protocolaire, pour la mériter et pour en être très fier. Evènement, qui fera date dans l'University, à marquer en lettres rouges, comme les premiers titres de l'U E M.
Quelle rencontre ?
Celle qui opposait samedi en 27, la France, dernier quart de finaliste au premier championnat du monde, à la Suède, malheureux relégué en première division, mais qui saura remettre les pendules à l'heure, dès les prochains championnats, n'en doutons pas.
Et hasard du calendrier, cette rencontre était aussi la dernière pour les deux managers, puisque Mizar pour les tricolores, et Niklas pour le pays aux Tre Kronor, ne se représentaient pas pour un second mandat, préférant laisser la place à d'autres postulants.
Parmi les moments riches en émotion au cours de cette soirée si particulière, il est à noter tout d'abord, en guise de préambule, la remise de l'ordre du Platypus d'Or, à ces 2 managers.
Distinction suprême du côté de l'University.
Précédent ainsi la levée des drapeaux bleu-blanc-rouge d'un côté et bleu-à-croix-excentrée-jaune de l'autre.
Pour l'anecdote, six joueurs suédois portent durant la saison les couleurs noires et ou rouges des Orniths.
Naturellement, durant cette cérémonie, l'assemblée toute entière n'a pas souhaité être de reste, et comme un seul homme, elle s'est levée pour les applaudir pendant de longues minutes.
Sublime standing ovation. Hommage plus que mérité. Frissons garantis.
Soyons honnête, si l'Antre des Orniths n'est pas la plus grande patinoire en terme de spectateurs, elle demeure néanmoins, comme l'une des plus impressionnantes, bruyantes, puisque la glace et la moitié des tribunes sont construites en-dessous du niveau de la terre, à l'image d'une Cave.
Nom de cette patinoire, justement.
Quand le hasard, qui n'existe pas, fait bien les choses.
Moment supplémentaire, qui marqua l'évènement, les joueurs des deux équipes ont eu le privilège de rentrer sur la patinoire sous la musique réservée uniquement aux Orniths en temps ordinaire.
Le Protest du Spirituals for Orchestra de Morton Gould.
http://www.youtube.com/watch?v=byOfDcbL06o
Durant la rencontre jouée à guichets fermés, comme pendant les tiers-temps, l'ambiance fut à son comble.
Français Suédois, venus nombreux tout spécialement en avion, mélangés, chantant, dansant, applaudissant, un côté plus que bon enfant.
D'ailleurs, en plus des habituels étudiants de l'University, énormément de familles avaient répondu présent à cette soirée placée sous le signe de l'écologie, puisque la terre orne la patinoire des Orniths avec un slogan, qui en dit long sur la tendance actuelle.
Concernant le plan sportif, pour un ultime tour de piste, les Suédois l'ont emporté 7 à 4. Rencontre riche en buts, puisque à 11 reprises, les gardiens ont été amené à chercher le palet au fond des filets. A 11 reprises, un mini feu d'artifice éclata aux quatre coins de la patinoire en ébullition.
En conclusion, hormis le résultat négatif pour l'Equipe de France, cette soirée fut une fête exceptionnelle autant dans les tribunes en folie que sur la patinoire, où le spectacle se révéla grandiose.
Messieurs, merci beaucoup.
Tack så mycket.
Quand deux pays de cœur se donnent rendez-vous.
Quand le monde de Baudelaire et de Lautréamont rencontre celui d'Edwardsson et de Stieg Larsson. Tout un Symbole, avec un S majuscule.
Et cette rencontre, ce manager l'a eue et bien eue, mettant tout en œuvre sur le plan financier et protocolaire, pour la mériter et pour en être très fier. Evènement, qui fera date dans l'University, à marquer en lettres rouges, comme les premiers titres de l'U E M.
Quelle rencontre ?
Celle qui opposait samedi en 27, la France, dernier quart de finaliste au premier championnat du monde, à la Suède, malheureux relégué en première division, mais qui saura remettre les pendules à l'heure, dès les prochains championnats, n'en doutons pas.
Et hasard du calendrier, cette rencontre était aussi la dernière pour les deux managers, puisque Mizar pour les tricolores, et Niklas pour le pays aux Tre Kronor, ne se représentaient pas pour un second mandat, préférant laisser la place à d'autres postulants.
Parmi les moments riches en émotion au cours de cette soirée si particulière, il est à noter tout d'abord, en guise de préambule, la remise de l'ordre du Platypus d'Or, à ces 2 managers.
Distinction suprême du côté de l'University.
Précédent ainsi la levée des drapeaux bleu-blanc-rouge d'un côté et bleu-à-croix-excentrée-jaune de l'autre.
Pour l'anecdote, six joueurs suédois portent durant la saison les couleurs noires et ou rouges des Orniths.
Naturellement, durant cette cérémonie, l'assemblée toute entière n'a pas souhaité être de reste, et comme un seul homme, elle s'est levée pour les applaudir pendant de longues minutes.
Sublime standing ovation. Hommage plus que mérité. Frissons garantis.
Soyons honnête, si l'Antre des Orniths n'est pas la plus grande patinoire en terme de spectateurs, elle demeure néanmoins, comme l'une des plus impressionnantes, bruyantes, puisque la glace et la moitié des tribunes sont construites en-dessous du niveau de la terre, à l'image d'une Cave.
Nom de cette patinoire, justement.
Quand le hasard, qui n'existe pas, fait bien les choses.
Moment supplémentaire, qui marqua l'évènement, les joueurs des deux équipes ont eu le privilège de rentrer sur la patinoire sous la musique réservée uniquement aux Orniths en temps ordinaire.
Le Protest du Spirituals for Orchestra de Morton Gould.
http://www.youtube.com/watch?v=byOfDcbL06o
Durant la rencontre jouée à guichets fermés, comme pendant les tiers-temps, l'ambiance fut à son comble.
Français Suédois, venus nombreux tout spécialement en avion, mélangés, chantant, dansant, applaudissant, un côté plus que bon enfant.
D'ailleurs, en plus des habituels étudiants de l'University, énormément de familles avaient répondu présent à cette soirée placée sous le signe de l'écologie, puisque la terre orne la patinoire des Orniths avec un slogan, qui en dit long sur la tendance actuelle.
Concernant le plan sportif, pour un ultime tour de piste, les Suédois l'ont emporté 7 à 4. Rencontre riche en buts, puisque à 11 reprises, les gardiens ont été amené à chercher le palet au fond des filets. A 11 reprises, un mini feu d'artifice éclata aux quatre coins de la patinoire en ébullition.
En conclusion, hormis le résultat négatif pour l'Equipe de France, cette soirée fut une fête exceptionnelle autant dans les tribunes en folie que sur la patinoire, où le spectacle se révéla grandiose.
Messieurs, merci beaucoup.
Tack så mycket.
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