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Silverdragons† - Réactions
Il était très difficile pour nous d'imaginer ce qui pouvait bien se passer dans la tête des Silverdragons au moment de lever l'ultime trophée devant leur public.
C'est pourquoi nous sommes descendus sur la glace pour le leur demander. Rencontre avec des p'tits gars bien héroiques.
SilverMag : Ikka, c'est énorme! A 5 minutes de la fin du match, vous êtes menés d'un but, en face: un HC Club énorme... et vous voilà qui réalisez l'impensable et vous offrez la coupe à vos partisans. Tu te rends compte de ce que vous venez de faire?
Ikka Karilainen (Attaquant, meilleur compteur de l'équipe sur la saison):
Ouaip c'est assez fou. On a vraiment failli baisser les bras. On s'est battus pendant tout le 2ème pour recoller au score, et on score à peine qu'ils en remettent un dans la minute. Ca nous a tué. Alors c'est vrai que quand ils se font pénaliser à 5 minutes de la fin, on sait que c'est notre chance. On pousse , on pousse, on pousse et ça rentre. C'était très intense comme moment. Alors quand Leopold (Majernik) plante une mine en pleine lucarne à 50 secondes du terme, on a littéralement explosé. Ca a été dur de se remobiliser pour les dernières secondes mais voilà: on est là !
SMag : donc on peut compter sur toi dans l'effectif de l'année prochaine?
Ikka Karilainen : cette question est idiote (rires). Bien sûr! on sait que la saison prochaine, ça sera un autre monde, une autre planète, une autre galaxie... tu te rends compte : le club à 3 ans à peine! on va douiller!
Smag : Rafael ? Capitaine heureux?
Rafael Persson : Tu sais, je suis un des tous premiers à être arrivés ici quand ce groupe de gamins est devenu "Silverdragons". J'ai joué des matchs qu'on a perdu 10-0, parfois 15-0. Nous sommes partis de très très loin. Alors voir aujourd'hui ce groupe accrocher des play-offs, revenir de nulle part face à la Constellation en sortant un match parfait au meilleur moment, et finalement lever la coupe chez nous, devant notre public, c'est inestimable. On est heureux de partager ça avec nos supporters.
Smag : Justement tu nous parles de la demi face à Constellation. Il semblerait que quelque chose se soit débloqué au terme de cette phase, et que vous avez comme survolé cette finale ?
Rafael Persson (Attaquant, capitaine de l'équipe):
Bin... ouaip... (pensif) en fait y'avait le contexte : on avait fortement poussé pour remporter la première phase. On était vraiment fatigués en abordant les demis. Et après le premier match, gagné en prolongations chez nous, on a passé une soirée infernale chez eux pour le match 2. C'était un cauchemar : rien ne marchait, on ne se trouvait pas, on manquait nos tirs, on gênait le gardien en voulant défendre. Le cauchemar. Alors en abordant la belle, on savait que c'était quitte ou double. Le coach à bien gueulé d'ailleurs (rires). Si on perdait, on devrait affronter les Naufrageurs pour la 3eme place, et honnêtement, on aurait plus eu de quoi les battre. Finir 4ème après avoir gagné la saison régulière, ca aurait été un crève coeur.
En revanche si on passait on assurait au moins une seconde place. On la voulait vraiment cette victoire alors on a tout donné, et autant on a vécu l'enfer juste avant, autant là tout marchait comme dans un rêve.
Et c'est vrai que ce soir là, on a sut qu'on pourrait faire un miracle en finale. On avait tout gagné et plus rien à perdre. Et voilà, on est là... et maintenant on va savourer ... !
Smag : Leopold, qu'est ce que c'était que cet OVNI? Tu nous fais une saison très correcte avec 37 points pour 38 matchs. Et puis pendant les play-offs, plus rien. Une assist dans la fameuse belle de la demi-finale et puis... plus rien. Jusqu'à ce moment de grâce où tu offres la sacre à ton équipe. Comment as tu vécu cela?
Leopold Majernik (Attaquant, quatrième ligne) :
Le niveau de l'équipe a largement évolué depuis le temps ou j'étais meneur de jeu de la première ligne tu sais. Je m'accroche pour rester au contact, c'est très dur, mais l'envie est toujours là. Du coup de joueur star je suis devenu un cadre pour les jeunes, et mon rendement s'en est ressenti. C'est l'équipe qui compte pour moi, et quand j'ai vu Joel Louche, remplaçant, se battre comme un lion, ca m'a redonné des forces et j'ai foncé du bout de la patinoire. Son tir prend le poteau et le puck revient droit sur moi et je n'ai rien eu à faire. Mais c'est mon plus beau rien de ma carrière. (rires)
Smag : ton objectif pour la saison prochaine?
Leopold Majernik : Réussir à t'éviter après les matchs. Tes questions sont vraiment trop pénibles. Personne ne voudra lire ça. hahaha.
Smag a également essayé de recueillir les impressions du coach, mais celui-ci nous a glissé une invitation pour une conférence de presse dans la poche, en nous promettant de nous y retrouver pour discuter de l'avenir du club et des objectifs de la saison à venir.
C'est pourquoi nous sommes descendus sur la glace pour le leur demander. Rencontre avec des p'tits gars bien héroiques.
SilverMag : Ikka, c'est énorme! A 5 minutes de la fin du match, vous êtes menés d'un but, en face: un HC Club énorme... et vous voilà qui réalisez l'impensable et vous offrez la coupe à vos partisans. Tu te rends compte de ce que vous venez de faire?
Ikka Karilainen (Attaquant, meilleur compteur de l'équipe sur la saison):
Ouaip c'est assez fou. On a vraiment failli baisser les bras. On s'est battus pendant tout le 2ème pour recoller au score, et on score à peine qu'ils en remettent un dans la minute. Ca nous a tué. Alors c'est vrai que quand ils se font pénaliser à 5 minutes de la fin, on sait que c'est notre chance. On pousse , on pousse, on pousse et ça rentre. C'était très intense comme moment. Alors quand Leopold (Majernik) plante une mine en pleine lucarne à 50 secondes du terme, on a littéralement explosé. Ca a été dur de se remobiliser pour les dernières secondes mais voilà: on est là !
SMag : donc on peut compter sur toi dans l'effectif de l'année prochaine?
Ikka Karilainen : cette question est idiote (rires). Bien sûr! on sait que la saison prochaine, ça sera un autre monde, une autre planète, une autre galaxie... tu te rends compte : le club à 3 ans à peine! on va douiller!
Smag : Rafael ? Capitaine heureux?
Rafael Persson : Tu sais, je suis un des tous premiers à être arrivés ici quand ce groupe de gamins est devenu "Silverdragons". J'ai joué des matchs qu'on a perdu 10-0, parfois 15-0. Nous sommes partis de très très loin. Alors voir aujourd'hui ce groupe accrocher des play-offs, revenir de nulle part face à la Constellation en sortant un match parfait au meilleur moment, et finalement lever la coupe chez nous, devant notre public, c'est inestimable. On est heureux de partager ça avec nos supporters.
Smag : Justement tu nous parles de la demi face à Constellation. Il semblerait que quelque chose se soit débloqué au terme de cette phase, et que vous avez comme survolé cette finale ?
Rafael Persson (Attaquant, capitaine de l'équipe):
Bin... ouaip... (pensif) en fait y'avait le contexte : on avait fortement poussé pour remporter la première phase. On était vraiment fatigués en abordant les demis. Et après le premier match, gagné en prolongations chez nous, on a passé une soirée infernale chez eux pour le match 2. C'était un cauchemar : rien ne marchait, on ne se trouvait pas, on manquait nos tirs, on gênait le gardien en voulant défendre. Le cauchemar. Alors en abordant la belle, on savait que c'était quitte ou double. Le coach à bien gueulé d'ailleurs (rires). Si on perdait, on devrait affronter les Naufrageurs pour la 3eme place, et honnêtement, on aurait plus eu de quoi les battre. Finir 4ème après avoir gagné la saison régulière, ca aurait été un crève coeur.
En revanche si on passait on assurait au moins une seconde place. On la voulait vraiment cette victoire alors on a tout donné, et autant on a vécu l'enfer juste avant, autant là tout marchait comme dans un rêve.
Et c'est vrai que ce soir là, on a sut qu'on pourrait faire un miracle en finale. On avait tout gagné et plus rien à perdre. Et voilà, on est là... et maintenant on va savourer ... !
Smag : Leopold, qu'est ce que c'était que cet OVNI? Tu nous fais une saison très correcte avec 37 points pour 38 matchs. Et puis pendant les play-offs, plus rien. Une assist dans la fameuse belle de la demi-finale et puis... plus rien. Jusqu'à ce moment de grâce où tu offres la sacre à ton équipe. Comment as tu vécu cela?
Leopold Majernik (Attaquant, quatrième ligne) :
Le niveau de l'équipe a largement évolué depuis le temps ou j'étais meneur de jeu de la première ligne tu sais. Je m'accroche pour rester au contact, c'est très dur, mais l'envie est toujours là. Du coup de joueur star je suis devenu un cadre pour les jeunes, et mon rendement s'en est ressenti. C'est l'équipe qui compte pour moi, et quand j'ai vu Joel Louche, remplaçant, se battre comme un lion, ca m'a redonné des forces et j'ai foncé du bout de la patinoire. Son tir prend le poteau et le puck revient droit sur moi et je n'ai rien eu à faire. Mais c'est mon plus beau rien de ma carrière. (rires)
Smag : ton objectif pour la saison prochaine?
Leopold Majernik : Réussir à t'éviter après les matchs. Tes questions sont vraiment trop pénibles. Personne ne voudra lire ça. hahaha.
Smag a également essayé de recueillir les impressions du coach, mais celui-ci nous a glissé une invitation pour une conférence de presse dans la poche, en nous promettant de nous y retrouver pour discuter de l'avenir du club et des objectifs de la saison à venir.
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