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Silverdragons† - La nuit des Héros.
Huit mois après sa dernière parution, le Silvermag, magazine officiel des Silverdragons, fait son grand retour à la veille de ce qui est peut être le match le plus important de l'histoire du club.
L'équation est simple : une victoire contre les redoutables Wild Gunmans garantirait à Silverdragon d'assurer au minimum une douzième place dans ces plays-offs, synonyme de maintien assuré. En cas de défaite ça sera la spirale infernale, le siphon des barrages et son lot d'aléas avec la menace d'une nouvelle relégation.
En se hissant de justesse à la 15ème place de la saison régulière, les hommes du capitaine Rafael Persson ont réalisé la meilleure performance de l'histoire du club. Partie des tréfonds du classement de division IV.6, l'équipe s'est doucement construite autour d'un solide noyau de guerriers pour gravir les échelons. L'abnégation du groupe et les exploits individuels des joueurs ont permis aux rouges et noirs de soulever leur tout premier trophée au terme de la saison 9 et d'accéder ainsi à l'échelon supérieur.
Si l'exploit fut dignement célébré, l'expérience de la division 3 a été difficile et douloureuse. Balayés par des équipes plus expérimentés, plus efficaces et globalement plus puissantes, les Silverdragons n'auront pu faire mieux que d'accrocher dans la douleur une 19ème place synonyme de relégation obligatoire. Leur 18ème place de play-offs, bien que constituant un meilleur résultat que celui de la saison régulière est donc un lot de consolation anecdotique.
La saison 10 fut donc la saison de la reconstruction. Nageant entre les eaux d'une D4 au niveau trop inconstant, et d'une D3 pour laquelle elle n'était assurément pas préparée, l'équipe des Rouges et Noirs a peaufiné une saison parfaite, s'accordant le bonheur de soulever une deuxième coupe de championnat en concluant une saison blanche de toute défaite.
L'objectif de la saison 11 est donc à portée de main avec la possibilité de prolonger l'expérience de D3 pour une saison de plus.
Le match de ce soir, au delà de l'enjeu pour l'existence du club, sera riche en apprentissages. Cloués 8 à 4 lors de la première rencontre de la série, les Silverdragons ont pris le pire départ imaginable. Emoussés, doutant de leur jeu et de leur capacité à destabiliser leurs hôtes, ils ont bafouillé leur hockey pendant toute la partie. En effet, le coach a sorti son temps mort à la moitié du match, alors que les Wild Gunmans avaient déjà scoré 5 fois par 5 buteurs différents. Sans les exploits individuels des deux compères slovaques Toth et Brejnik qui ont chacun marqué en infériorité, le match aurait été plié avant le temps mort.
Reboostés par les consignes de l'homme en noir, les hommes de Rafael Persson ont trouvé les ressources de recoller à 5-4 grâce à une réalisation de l'irremplaçable Vitek Kyjovsky, avant de s'écrouler et d'encaisser 3 buts dans le dernier 10.
Réaction de Vlastismil Panos, doublure du gardien malheureux du soir : "on a vécu une soirée difficile qui est venue se poser au bout d'une saison éprouvante. Paval (Kavaleu) a beaucoup donné devant les cages mais force est de reconnaitre que les gars d'en face envoient du lourd. Maintenant on va surement pas baisser les bras maintenant. Une série se joue au meilleur des 3, pas avant. Le prochain match se jouera à domicile et n'aura rien à voir. Il est d'ailleurs possible que le coach me fasse confiance pour la suite et j'ai hâte d'en découdre"
Et l'envie c'est peut-être la seule chose qui aura pu départager les deux équipes. A l'issue d'un match tendu qui a vu les Silverdragons mener 2-0 avant de voir leurs invités revenir à 2-1, un Radek Tocik en pleine tension glisse un palet vicieux au dessus de la jambière du Gunman Dimitri Langlois et offre aux Silverdragons une ultime chance de réaliser le hold-up de la saison.
Le match de ce soir sera donc sans nul doute le plus passionnant de la saison et il y a fort à parier qu'il ne restera pas une place de libre à la OK.Corral Arena des Wild Gunmans.
Gunmans contre Dragons. Verts contre Rouges, on peut compter sur des débats, des exploits, des arrêts spectaculaires et des chants de supporters, mais au bout des 60 minutes, au bout de l'effort une seule place pour prolonger en D3.
L'équation est simple : une victoire contre les redoutables Wild Gunmans garantirait à Silverdragon d'assurer au minimum une douzième place dans ces plays-offs, synonyme de maintien assuré. En cas de défaite ça sera la spirale infernale, le siphon des barrages et son lot d'aléas avec la menace d'une nouvelle relégation.
En se hissant de justesse à la 15ème place de la saison régulière, les hommes du capitaine Rafael Persson ont réalisé la meilleure performance de l'histoire du club. Partie des tréfonds du classement de division IV.6, l'équipe s'est doucement construite autour d'un solide noyau de guerriers pour gravir les échelons. L'abnégation du groupe et les exploits individuels des joueurs ont permis aux rouges et noirs de soulever leur tout premier trophée au terme de la saison 9 et d'accéder ainsi à l'échelon supérieur.
Si l'exploit fut dignement célébré, l'expérience de la division 3 a été difficile et douloureuse. Balayés par des équipes plus expérimentés, plus efficaces et globalement plus puissantes, les Silverdragons n'auront pu faire mieux que d'accrocher dans la douleur une 19ème place synonyme de relégation obligatoire. Leur 18ème place de play-offs, bien que constituant un meilleur résultat que celui de la saison régulière est donc un lot de consolation anecdotique.
La saison 10 fut donc la saison de la reconstruction. Nageant entre les eaux d'une D4 au niveau trop inconstant, et d'une D3 pour laquelle elle n'était assurément pas préparée, l'équipe des Rouges et Noirs a peaufiné une saison parfaite, s'accordant le bonheur de soulever une deuxième coupe de championnat en concluant une saison blanche de toute défaite.
L'objectif de la saison 11 est donc à portée de main avec la possibilité de prolonger l'expérience de D3 pour une saison de plus.
Le match de ce soir, au delà de l'enjeu pour l'existence du club, sera riche en apprentissages. Cloués 8 à 4 lors de la première rencontre de la série, les Silverdragons ont pris le pire départ imaginable. Emoussés, doutant de leur jeu et de leur capacité à destabiliser leurs hôtes, ils ont bafouillé leur hockey pendant toute la partie. En effet, le coach a sorti son temps mort à la moitié du match, alors que les Wild Gunmans avaient déjà scoré 5 fois par 5 buteurs différents. Sans les exploits individuels des deux compères slovaques Toth et Brejnik qui ont chacun marqué en infériorité, le match aurait été plié avant le temps mort.
Reboostés par les consignes de l'homme en noir, les hommes de Rafael Persson ont trouvé les ressources de recoller à 5-4 grâce à une réalisation de l'irremplaçable Vitek Kyjovsky, avant de s'écrouler et d'encaisser 3 buts dans le dernier 10.
Réaction de Vlastismil Panos, doublure du gardien malheureux du soir : "on a vécu une soirée difficile qui est venue se poser au bout d'une saison éprouvante. Paval (Kavaleu) a beaucoup donné devant les cages mais force est de reconnaitre que les gars d'en face envoient du lourd. Maintenant on va surement pas baisser les bras maintenant. Une série se joue au meilleur des 3, pas avant. Le prochain match se jouera à domicile et n'aura rien à voir. Il est d'ailleurs possible que le coach me fasse confiance pour la suite et j'ai hâte d'en découdre"
Et l'envie c'est peut-être la seule chose qui aura pu départager les deux équipes. A l'issue d'un match tendu qui a vu les Silverdragons mener 2-0 avant de voir leurs invités revenir à 2-1, un Radek Tocik en pleine tension glisse un palet vicieux au dessus de la jambière du Gunman Dimitri Langlois et offre aux Silverdragons une ultime chance de réaliser le hold-up de la saison.
Le match de ce soir sera donc sans nul doute le plus passionnant de la saison et il y a fort à parier qu'il ne restera pas une place de libre à la OK.Corral Arena des Wild Gunmans.
Gunmans contre Dragons. Verts contre Rouges, on peut compter sur des débats, des exploits, des arrêts spectaculaires et des chants de supporters, mais au bout des 60 minutes, au bout de l'effort une seule place pour prolonger en D3.
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