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Lynx de Bruxelles† - Nouvelle recrue
Les Lynx ont transféré aujourd'hui un ailier droit slovaque de 23 ans, en provenance de l'équipe de ligue I.1 slovaque Kublin.
Entretien avec Stef Geets, chef manager des Lynx.
-Comment s'appelle ce joueur qui arrive d'un championnant du plus haut niveau?
-Ales Lukas. Bientôt vous connaitrez ce nom par cœur, car vous allez en entendre parler!
- On parle d'une somme de 166 millions, est-ce vrai qu'il s'agit d'un record pour l'équipe?
- C'est un gros montant pour un joueur, mais ce n'est pas un record: en saison 12 nous avons payé 117 millions pour Milo Lasser et en saison 13 nous avons transféré Harri Riihiniitty pour 121 millions.
- Mais il s'agissait de jeunes joueurs de 15 ou 16 ans. Cette fois, il s'agit d'un joueur confirmé, qui sera rapidement titulaire. Est-ce une nouvelle politique de transfert?
- C'est vrai que nous préférons miser sur la formation de nos joueurs. La plupart du temps, nous achetons des très jeunes joueurs à former, ou bien des joueurs de 19-20 ans qui ont déjà de l'expérience mais encore une marge de progression. Mais parfois nous avons besoin d'un renfort qui va directement faire une différence.
- Oui, mais nous avions l'habitude dans ce cas de voir arriver des joueurs plus âgés, en fin de carrière, donc moins chers, comme Dawid Wartacz ou Sergej Celik. Qu'est-ce qui a changé?
- Les joueurs plus âgés et plus expérimentés sont très importants dans notre équipe, mais on ne peut pas avoir une équipe uniquement composée de ce type de joueurs. Il faut aussi préparer l'avenir, il faut un équilibre dans l'équipe.
- En ce qui concerne la position d'ailier droit, n'y a-t-il pas Sankot et Withof qui répondent à ce besoin?
- C'est ce qui était planifié, en effet. Mais la progression de ces deux joueurs montre que leur carrière dans notre équipe sera moins longue que prévue. Nous avions donc besoin d'un renfort à ce poste.
- En attirant des joueurs ce ce calibre, directement depuis les plus grosses ligues, les Lynx montrent-ils qu'ils ont plus d'ambitions?
- Nous avons toujours eu de l'ambition, notre équipe ne cesse de progresser chaque saison, en terme de force d'équipe et d'infrastructures. Mais c'est vrai qu'aujourd'hui, nous passons à une autre étape : nos infrastructures arrivent au top niveau, nos investissements vont pouvoir être davantage dirigés vers les transferts pour être encore plus compétitifs. Notre ambition est simple : déloger My Ploegske et dirty punks de leurs positions de leaders de la ligue I.1 belge.
Entretien avec Stef Geets, chef manager des Lynx.
-Comment s'appelle ce joueur qui arrive d'un championnant du plus haut niveau?
-Ales Lukas. Bientôt vous connaitrez ce nom par cœur, car vous allez en entendre parler!
- On parle d'une somme de 166 millions, est-ce vrai qu'il s'agit d'un record pour l'équipe?
- C'est un gros montant pour un joueur, mais ce n'est pas un record: en saison 12 nous avons payé 117 millions pour Milo Lasser et en saison 13 nous avons transféré Harri Riihiniitty pour 121 millions.
- Mais il s'agissait de jeunes joueurs de 15 ou 16 ans. Cette fois, il s'agit d'un joueur confirmé, qui sera rapidement titulaire. Est-ce une nouvelle politique de transfert?
- C'est vrai que nous préférons miser sur la formation de nos joueurs. La plupart du temps, nous achetons des très jeunes joueurs à former, ou bien des joueurs de 19-20 ans qui ont déjà de l'expérience mais encore une marge de progression. Mais parfois nous avons besoin d'un renfort qui va directement faire une différence.
- Oui, mais nous avions l'habitude dans ce cas de voir arriver des joueurs plus âgés, en fin de carrière, donc moins chers, comme Dawid Wartacz ou Sergej Celik. Qu'est-ce qui a changé?
- Les joueurs plus âgés et plus expérimentés sont très importants dans notre équipe, mais on ne peut pas avoir une équipe uniquement composée de ce type de joueurs. Il faut aussi préparer l'avenir, il faut un équilibre dans l'équipe.
- En ce qui concerne la position d'ailier droit, n'y a-t-il pas Sankot et Withof qui répondent à ce besoin?
- C'est ce qui était planifié, en effet. Mais la progression de ces deux joueurs montre que leur carrière dans notre équipe sera moins longue que prévue. Nous avions donc besoin d'un renfort à ce poste.
- En attirant des joueurs ce ce calibre, directement depuis les plus grosses ligues, les Lynx montrent-ils qu'ils ont plus d'ambitions?
- Nous avons toujours eu de l'ambition, notre équipe ne cesse de progresser chaque saison, en terme de force d'équipe et d'infrastructures. Mais c'est vrai qu'aujourd'hui, nous passons à une autre étape : nos infrastructures arrivent au top niveau, nos investissements vont pouvoir être davantage dirigés vers les transferts pour être encore plus compétitifs. Notre ambition est simple : déloger My Ploegske et dirty punks de leurs positions de leaders de la ligue I.1 belge.
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